Vers quelles ressources bien-être s’orienter ?

Voici un article qui devrait vous prouver (si ce n’était déjà fait), que je ne suis pas un auteur prosélyte ou propagandiste. 🙂 D’ailleurs, je l’ai toujours dit et le dirais toujours : la pratique du magnétisme de bien-être que j’enseigne n’est pas pour tout le monde. Bien entendu elle n’est pas réservée à une élite, et tous ceux qui veulent se lancer peuvent y parvenir.

Déterminer les changements à opérer

Aucune pratique de bien-être n’est universelle, et aucune n’est réservée à une élite. Vous pouvez être « nul » en bien-être, et malgré tout découvrir ce domaine, vous améliorer, évoluer, l’utiliser au quotidien. Peut-être avez-vous besoin d’une méthode dite de bien-être. Ou peut-être votre bien-être dépend plutôt d’une nouvelle organisation du quotidien à mettre en place, ou encore le fait de changer de travail, démarrer de nouvelles relations, etc.

La solution-miracle n’existe à priori pas. Il existe plutôt un ensemble de solutions petites ou grandes, simples ou complexes, que l’on doit trier, choisir et adapter à soi. Nous sommes tous différents, et il ne peut exister de solution standardisée. Cela prouve que chacun est un être unique, devant se fabriquer des solutions sur mesure. Dans ce but, voici quelques étapes à suivre :

Homme s'interrogeant

Ne se donner aucune limite… dans un premier temps

Réfléchir, noter, envisager toute possibilité venant à l’esprit. Changer de travail, de pays, de fréquentations, de mode de vie ? Partir autour du monde, cultiver la terre ? Mais aussi de toutes petites choses… Faire son pain ou ses yaourts soi-même, se mettre à tel sport, tel art ? Vous ne saurez pas trop où donner de la tête, votre esprit sera un peu dans la confusion : ce n’est pas grave, continuez, et soyez aussi ambitieux que vous le souhaitez. Si les idées s’accumulent par dizaines, si c’est un gros bazar, ce n’est pas un problème.

Hommes se questionnant sur les différents chemins possibles

Laisser parler ses ressentis et faire le tri

Une fois la première étape effectuée, s’éloigner de cela quelques jours : l’esprit a besoin de se reposer, de prendre du recul. Puis, y revenir en classant les idées et désirs. Par style, par importance… Ensuite, l’imagination entre en jeu. Pour chaque envie, fermer les yeux et imaginer sa réalisation. Il faut laisser ce désir, ce projet vibrer en soi. On considère alors déjà cela de façon plus réaliste, et on peut mieux décider de quoi on a vraiment envie. Certaines idées peuvent correspondre à des fantasmes flous, incertains… il faut alors les préciser au maximum. On peut ensuite soit les modifier (ils peuvent changer du tout au tout !), soit les mettre de côté ou les supprimer. Un tri doit ainsi opérer entre ce qu’on désire vraiment (correspondant à un désir ardent, une sorte de feu intérieur) et les envies imprécises. Important : il ne faut pas seulement imaginer le résultat de la réalisation, mais aussi et surtout les étapes qui y mènent.

Dessin zen

L’art de classer désirs et projets

Classer est simple, pourtant, souvent on n’y pense pas ! Le projet de s’installer en campagne pour travailler la terre n’est évidemment pas à mettre au même niveau que celui de manger des fruits le matin (car oui, il faut songer aux souhaits de toute envergure, sans culpabiliser d’avoir aussi de tout petits projets).
– Commencer par le « grand » : noter les projets demandant le plus gros investissement, les plus fortes remises en question. Exemple : changer de travail. Prenez conscience que ce désir est loin d’être inaccessible ! Et que vous pouvez l’atteindre en temps et en heure, cela comme bien d’autres envies.

Puis, allez vers le plus petit. « Petit » n’est pas du tout à prendre au sens péjoratif :

ce sont les petites actions qui changent la vie

et comme on dit les petits ruisseaux font les grandes rivières. Exemple : « lire au moins 10 pages de roman par jour ».
Après cet exercice, tout sera déjà bien plus clair. La plupart du temps, c’est en respectant une certaine hiérarchie que cela fonctionne : on commence par changer via de petits actes, presque anodins (habitudes du quotidien, état d’esprit…), ce qui permet par la suite de modifier des éléments de plus en plus conséquents de son existence.
Rien ne presse, inutile de prendre des décisions dans l’immédiat. On peut laisser reposer toutes ces idées en soi, laisser passer quelques jours, y revenir, refaire l’exercice… Puis, déterminer les projets (petits ou grands) nous tenant le plus à cœur, et enfin commencer à agir. Les autres seront mis de côté dans l’immédiat (sans être oubliés), car plus les résolutions sont nombreuses, plus il est complexe de toutes les suivre. Par ailleurs, il faut :

. Découper le tout en étapes. Plus un projet est conséquent, plus il lui faut d’étapes. Plus on le décortique, plus il se précise et devient réalisable.

. S’autoriser l’erreur. On a parfaitement le droit d’abandonner un projet, ou de le modifier en cours de route. Plus on tente, plus on explore de voies, mieux on se connaît soi-même. C’est en testant, essayant, expérimentant qu’on finit par trouver ce qu’il nous faut. Il arrive en outre que la réalisation d’un objectif n’épanouisse pas autant qu’on ne l’aurait cru : passer du fantasme à la réalité est parfois décevant.

Là encore, pas de découragement ! Ce n’est qu’une étape de vie. Par ailleurs, nous ne sommes pas des êtres figés : nous évoluons ! Les besoins et désirs d’hier ne sont pas forcément les mêmes qu’aujourd’hui, ni de demain. Il faut donc refaire le point régulièrement, quitte à reprendre toutes les étapes.

Pour aller plus loin sur le sujet, lisez mon article « Nul en bien-être ? Voici par quelles méthodes commencer ».

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