Un jour, Jean-Claude Carton (animateur radio orienté bien-être. Paix à son âme !) a dit que bien des gens dans les salons bien-être tiraient la tronche. Une réflexion très pertinente : il est logique de souhaiter se tourner vers le bien-être lorsqu’on est dans le mal-être. Dans un monde où nous n’aurions aucune raison d’être stressés ou déprimés, les pratiques de bien-être seraient bien plus rares, voire n’existeraient pas.
J’ai effectivement remarqué par la suite que beaucoup de pratiquants de telle ou telle méthode revenaient de loin. Galère, dépression, maladie, marginalité… et j’en passe.
En réalité, c’est un faux paradoxe. A contrario, il m’est arrivé de rencontrer des gens naturellement bien dans leur peau, et qui n’en avaient RIEN à faire du monde du bien-être ! 🙂
Eh oui, je ne suis pas de ceux qui pensent que « sans l’église, point de salut »… et ne prêche même pas pour ma chapelle. L’essentiel est de se transcender, connaître une réelle évolution personnelle, que ce soit avec ou sans quelque pratique que ce soit.
– Si jamais vous souhaitez devenir praticien, c’est sur ce point que vous devez être prudent. Vouloir changer de paradigme, cela ne veut pas dire ouvrir votre cabinet. Cela veut surtout dire : changer de cadre de vie / redécouvrir des plaisirs plus simples / se détacher du tout-matériel / se développer / être soucieux des autres, de son entourage.
Parmi les idées reçues (tantôt justifiées, tantôt non) sur le monde du bien-être, on prétend souvent que les résultats des pratiques viennent de simples impressions. Pour en savoir plus sur le sujet, lisez mon article « Magnétisme : plein feu sur l’effet placebo ».
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